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La marquise de La Pommeraye se couvrit les yeux, Diderot - Enseignement / Foxoo
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La marquise de La Pommeraye se couvrit les yeux, Diderot / Enseignement


Pour devenir un champion en orthographe, suis @orthofacile avec ton compte Twitter. Usage conseillé sur Twitter application mobile. Aujourd'hui lundi 8 octobre 2012, un extrait de Jacques le Fataliste (1773, publication 1796) de Denis Diderot (1713-1784).

Lis ce premier texte qui ne comporte pas de faute :

Alors la marquise de La Pommeraye se couvrit les yeux de ses mains, pencha la tête et se tut un moment après lequel elle ajouta : Marquis, je me suis attendue à tout votre étonnement, à toutes les choses amères que vous m'allez dire. Marquis ! épargnez-moi... Non, ne m'épargnez pas, dites-les-moi ; je les écouterai avec résignation, parce que je les mérite. Oui, mon cher marquis, il est vrai' Oui, je suis' Mais, n'est pas un assez grand malheur que la chose soit arrivée, sans y ajouter encore la honte, le mépris d'être fausse, en vous le dissimulant ?
Commence le jeu !



























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En moins d'une minute, trouve la faute qui s'est glissée dans le texte :
Alors la marquise de La Pommeraye se couvrit les yeux de ses mains, pencha la tête et se tut un moment après lequel elle ajouta : Marquis, je me suis attendue à tout votre étonnement, à toutes les choses amères que vous m'aller dire. Marquis ! épargnez-moi... Non, ne m'épargnez pas, dites-les-moi ; je les écouterai avec résignation, parce que je les mérite. Oui, mon cher marquis, il est vrai' Oui, je suis' Mais, n'est pas un assez grand malheur que la chose soit arrivée, sans y ajouter encore la honte, le mépris d'être fausse, en vous le dissimulant ?
Tu as trouvé l'erreur ? Vérifie !

































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Texte corrigé :
Alors la marquise de La Pommeraye se couvrit les yeux de ses mains, pencha la tête et se tut un moment après lequel elle ajouta : Marquis, je me suis attendue à tout votre étonnement, à toutes les choses amères que vous m'allez dire. Marquis ! épargnez-moi... Non, ne m'épargnez pas, dites-les-moi ; je les écouterai avec résignation, parce que je les mérite. Oui, mon cher marquis, il est vrai' Oui, je suis' Mais, n'est pas un assez grand malheur que la chose soit arrivée, sans y ajouter encore la honte, le mépris d'être fausse, en vous le dissimulant ?

Précisions:
Quand c'est Vous, je ne mets jamais de R, toujours un Z si c'es un son en "é".

Vous mangez
Vous prenez
Vous dites (ce n'est pas un son en "é" !)
Vous m'amusez !


A demain, avec Twitter @orthofacile !



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